Sur les tuiles, un gout salé de quelque larmes [libre]

Miwako était depuis peu dans cette établissement et pour le moment, elle s'y sentait bien. Elle n'arrivait pourtant pas à dormir ce soir là... Certainement à cause du changement, ou pour une raison plus profonde... Elle eu soudain un besoin d'air frais. Alors elle sortit de la chambre sur la pointe des pieds, emportant évidament son casque et son MP3, et elle se mit en chasse; elle recherchait un endroit calme on l'on pouvait voir le ciel. Elle finit par trouver, le toit!

Elle était maintenant debout la tête levée vers l'immensité noire parsemée de petites lucioles... Elle resta là quelques minutes, contemplant cette immensité... Elle se sentit tout petite dans cette grandeur étoilée.... si petite, si insignifiante... Une vague de nostalgie la submergea, mais elle refusait de se laisser emporter par cette tristesse enfouie au font de son corps... de son âme... Son corps ne lui appartenait plus, son esprit voguait dans une mer ténébreuse et scintillante... Elle était comme pétrifiée par tout la beauté que la voie lactée dégageait... Puis doucement, son esprit s'en retourna dans son corps... Un larme glissa sur sa joue et s'écrasa sur les tuiles du toit... Elle s'assit sur le toit serrant ses jambes contre sa pointrine, la tête toujours rivée vers les étoiles. Elle mit son casque sur ses oreille et monta le son de son MP3, elle se baladat dans les differents categorie et enfin elle trouva la chance qu'elle recherchait; "je veux m'en aller" de Saez. Et là, rien, elle était comme statufié les larmes coulais sur son visage pour fini leurs cours sur les tuiles chaudes du toit. Il devait être vers les 5h du matin. Les larmes continuait de coulais sur le visage de Miwako mais aucun bruit ne se faisait entendre; reniflement ou autre... Une tristesse ancienne resurgissait du plus profond de son coeur...

* Pouquoi ce soir, alors que je devrait être heureuse...enfin je pense, que je devari être heureuse mais devrais-je vraiment l'être, n'aurai-je pas voulus rester dans mon ancien école ou temps de bon souvenir son encré... Gagné les championnat de Volley Ball de l'école et... non je ne croit pas que ce soit bien pour moi mais est-ce que ce pensionnat est mieux pour moi je ne sais pas*

Miwako se pris la tête dans ses mains continuent à se torturer mentalement d'infinissable question que ne la faisait guerre avançait. Puis elle baissa la tête et comtempla tout le pensionnat illuminé par la lune presque pleine. Elle se mit à fixé à sime d'un arbre qui était balotait au rytme du vent, ce vent qui s'enplifiait doucemnt. La jeune fille était en pyjama, son pyjama était cponstituait d'un débardeur et d'un Mini-short, bleu ciel et blanc. Alors qu'elle fixait toujours le haut de l'abre Le soufle sacadait de Miwako se régulait doucement et ses larmes diminuaire aussi. Miwako était tellement plongeait dans sa contemplation, et dans sa musique, dont volume était très élevé qu'elle n'entendit pas la personne qui dans l'ombre venait de se hissait sur le toit...

[c'est une ecole avec un internat, donc, tous les élèves ne sont pas forcement la le soir. Je te previent pour te dire que sur ce genre de sujet, y aura peu de chance que quelqu'un vienne. :p]

Doylle était partit de chez lui tot le matin, bien avant que le soleil de se lève. LE matin était le moment de la journée qu'il preferait, car il était en pleine forme, profitant de son énergie regagnée pendant la nuit. Mais ce n'était pas l'unique raison. Il y en avait de nombreuse autres, comme l'air frai de la fin de la nuit, ou encore les pales lueurs de la lune, la faible luminosité, mais surtout, le calme. Car il faut le savoir, Doylle a horreur de la compagnie des autres, il préfere etre seul dans son coin, a pianoter sur son ordinateur, a rentrer les cours de la veille, ou bien a ravailler sur un travail personel ou encore, tout simplement, a jouer a des jeux vidéos.

Et dailleur, en sortant de chez lui, il avait deja prit toutes ses afaires de cours et son ordinateur portable, car il souhaiter rester dehors jusqu'a l'ouverture de l'école. Passant par dessus le muret d'ensceinte qui était plus prevu pour empecher les élèves de sortir plutot que d'entrer, il passa dans la cour de l'établissement, son sac sur l'épaule.

Se rendant vers son endroit favoris de l'école le toit, il crut distinguer une silouhette, mais un nuage passant devant la lune lui fit se dire qu'il ne s'agissait que d'une ombre.
Il monta alors vers le toit, glissant sa tête au niveau des tuiles, il vit une fille qui semblait seule. Mais surtout, qui était sur son territoire. Il n'allait tout de même pas la virer du toit, mais il n'allait pas s'en laisser expulser pour autant. Remarquant que la fille semblait ailleur, et entendant la musique malgres la distance, il se dit qu'il pourait passer sans se faire remarquer et aller de l'autre coté du toit. Il réussit a se hisser sans aucun probleme, avanca discretement, mais trebucha sur le toit. Il n'avait fait aucun bruit, mais la pomme qui devait constituer son petit déjeuner glissa du sac et roula pour aller percuter le dos de la jeune fille.

Miwako qui était à fond dans sa musique et dans ses réflexion sentit quelque chose toucher son dos, elle sursauta et se retourna les poings sérrait dans une position de défence. C'est alors qu'elle se rendit compte que ce qu'il l'avait fait sursautait n'était qu'une simple pomme. Elle remarqua plus haut une jeune homme en train de se relever. Elle mit son casque autour de son coup et stoppat sa musique. Elle remarqua alors que dans sa prcipitation elle c'était levée et que la pomme continuait de roulais et qu'elle allait d'ici 2 mètre tomber du toit. Miwako fit un saut élégent en arrière et retomba beaucoup plus bas accroupie. Elle attrapa la pomme, d'un geste vague elle éssuyat les larmes qui restait sur son visage pendant qu'elle était toujours dos au nouveaux venus, et elle se retournat, avança de quelque pas se retrouvant à ça hauteur et elle lui dit en lui tendant la pomme :

- Tiens, ta pomme! J'm'appelle Miwako, j'suis nouvelle ici ! Et toi tu t'appelle comment ?

Miwako attandait sagement sa réponse et qu'il récupaire sa pomme. Elle l'observa attentivement, il était évidament plus grand qu'elle et brun.

*Dis-dponc c'est qu'a bien y regarder il est plutot mignon, sous ses cheveux...*

Miwako lui fit un faible sourire, et continuat de le détaillait avec attention espèrent que sa le le dérangerait pas trop d'être fixé de la sorte.

Doylle vit la fille se retourner puis ratrapper la pomme avec agilité, rester un moment en lui tourant le dos puis se raprochant pour lui rendre sa pomme en se presentant. Doylle n'aimait pas trop les gens si direct, qui a peine ils croisaient quelqu'un, se presentaient et demandaient les noms des gens comme ca.
Il recupera tout de même la pomme, et voyant Miwako la regarder si bizarement, il se dit qu'il ferait mieux de dire son nom.
Alors qu'elle le fixait en lui souriant, Doylle dit:

-Je m'appelle Doylle.

Il avait dit cela d'un ton hésitant, et forca un sourire qui le rendit plus ridicule qu'autre chose. Décidement, il était toujours maladroit en presence des gens, mais pour une fois, il avait accepté de dire son nom, mais plus a cause de l'étrange atitude de la fille que par gentillesse.

*Elle devrait aller voir un psy cette fille, on fixe pas les gens comme ca*

[oui, mon perso a un sale caractere :p Mais faut pas abandonner]

[ gnahaha, je suis un tête de mule alors entre têtre de mul et sale caractère on devrait bien s'entendre!!^^]

Miwako Le vit récupérer sa pomme et avec un air méfiant il lui dit son nom accompagné, d'un sourire qui sonnait tellement, qu'il en devenait burlesque. Quand elle le vit sourire Miwako du faire un éfort colossale pour ne pas s'éfondré par terre secoué par une crise fou rire. Elle s'en sortie très bien transformant son envie d'explosait de rire en sourire radieux. Miwako continua de le fixait quelque instant puis elle lui dit avec lègerté :

- Ok! et t'as qu'elle age?

* Il semble tout coincé, je sent que je vais bien me marée et cette espèse de sourire forcée qu'il m'a fait un peu plus et je mourrais de rire *

Miwako avait casiment oublié son chagrin qui datait d'apeine 2 minute c'était une de ses calité ses humeur était très changeant et hereusement. Car si elle s'était écroulé dans sesbras ele pleurant la situation auré était bien plus embarassante!

Décidement, cette fille était bizare, juste apres l'avoir regardé avec des yeux comme des pasteques, elle se mit a faire un ennorme sourire et lui demanda son age. Doylle prefera repondre rapidement, il lui faudrait s'enfuire de cette conversation le plus vite possible, alors autant la finir rapidement. Il dit:
Heu... 15 ans.

Mais, il ne put s'empecher de rajouter:
-Et toi?

Tout de suite apres cela, il s'en voulu d'avoir demandé son age a Miwako, la conversation allait durer plus longtemps. Dailleur, il était pas super bien placé sur le toit, les pieds tordus pour tenir droit, et ses jambes commancaient a lui faire mal.

Miwako était toujours en face du jeune homme nommé doylle, mais elle était accroupie et commencé à aoir mal au jambe à force de rester dans cette position alors elle s'assit en tailleur de manière très comfortable. Elle en tendit sa réponse hésitante et il lui demanda son age miwako était contente de ne pas faire une conversation à sens unique. Miwako lui fit un de ses beaux sourire charmeur. Puis elle lui dit :

- Moi aussi j'ai 15 ans si ça se trouve on va se retrouver dans la même classe ca va être cool ! Ca te prend souvent de venir sur le toit si tot ?

Miwako basculat la tête en arrière, pour regarder la voie lactée qui allait bientot disparaitre illuminé par le soleil. Son visage s'assombrie sondain, mais elle se resaisit vite re baissant sa tête vers Doylle. En attendant sa réponse elle plongeat son regard dans les yeux du jeune homme.

Doylle la regarda avec un drole de tête et repondit:

-Ouais, ca serait... "cool".

Il le dit sans aucune conviction, car cette fille agissait bizarement a son gout, et il ne comprenait pas tout a fait ses réactions. Il la trouvait un peu trop familère. Dailleur, elle se mettait a lui poser des questions sur son emplois du temps, chose qu'il ne voulaiut pas du tout divulger, il repondit alors un peu vivement:

-Je vient sur le toit aux horraires que je veux.

[j'ai vraiment un tres sale caractere :p]

Miwako avait très bien compris qu'il n'avait pas envie de parler avec elle ! Mais elle continuait à lui parler, lui poser des questions, car au moins ça l'occupé et elle ne pleurai plus. Alors elle lui dit :

- Et sinon tu es depuis longtemps pensionnat !

Soudain le sourire deMiwako disparu, elle se recrocvillat sur elle même, serant ses jambes contre son corpe. Elle leva sa tête vers le ciel et elle contemplat les étoile quelque instant. Miwako baissat ensuite la tête et fixa son regard sur un des tuile juste devant elle, là elle murmura :

- Pourquoi si peut de franchise...

-Deja, je suis pas pensionnaire, je rentre tous les soirs chez moi.

Il remarqua que son atitude avait completement changé et se demanda ce qu'il se passait. Elle murmura quelque chose qu'il ne put comprendre. alors il lui demandat:

-J'ai rien comprit, tu peux repeter s'il te plait.

Miwako resta quelque instant le regard dans le vide. Elle avait parfaitement entendu ce que lui avait dit Doylle, mais elle ne trouvait plus assait de froce pour ce répéper. Alors Elle lui répondi après un long et pasible silence :

- Nan, c'est pas grave...
Et t'as pas répondu a ma question ; t'es depuis longtemps dans cette école?

Miwako se sentait à nouveaux cette lointaine tristesse remonter en elle.

Kairi un peu embarassé par les changement d'humeur de Miwako repondit:

-Depuis le début de l'année, je suis en premiere année, dans la classe A.

Voyant Miwako devenir un peu triste et en ayant un peu mare de ces changements d'humeur, il forca un sourire afin de rendre le sien a la jeune fille.

En temps normale Miwa serai tout simplement explosé de rire au plus au points vu le magnifique sourire de forcé que Doylle venait de manifester. Mais cette fois Miwa n'émit qu'un léger gloussement avant de lui dire :

- Alala t'es vraiment trop drôle!!
Alors t'es dans la 1-A et bien mon pauvre Doylle tu vas m'avoir sur le dos jusqu'à la fin de l'année! ^^

Miwa esquissa ensuite un faux sourire plutôt réaliste.

Kairi se dit que cette fille ne pouvait pas garder la même expression bien longtemps, elle passait des larmes au rire, puis a un grand sourire. Décidement, Kairi devrai éviter de rester trop longtemps ici si il ne voulait pas qu'elle détaigne sur lui, mais son dernier sourire le rassura, son sourire forcé se decripsa un peu pour laisser place a un sourire plus franc. Il dit alors:

-A mon avis, ce sera plutot a toi de m'avoir sur le dos.

Il ne savait pas du tout pourquoi il avait dit cela, car ca n'était pas dans ses habitudes de réaction.

Cette fois Miwa était vraiment heureuse, Doylle commencait enfin à se décrisper. Quand elle entendit sa dernière ohrase elle rigola légerment et lui dit, après un sourire sadique :

- Niark niark, ça m'étonerais...

Puis voyant la tête de Doylle, suite à son sourire sadique. Miwa explosa d'un rire vrai pas comme tout ses immitations qu'elle avait fait avant. Miwako avait un dont pour caché ses sentiments passant pour une fille trop joviale. Mais là elle eut un fou rire si vrai que ça la surpris elle même.

* Ca me fait du bien!! Ca doit faire bien 3ans que je n'avait pas rit d'aussi bon coeur!*

- Pfiou ça fait du bien...

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